Tout avait pourtant bien commencé, lors de cette visite « d’étude » du camp d’extermination d’Auschwitz par la délégation officielle des N&N, les Négationnistes Néonazis… De notre reporter en Pologne, Thierry Crouland.

Autour de Roger Garaudy, David Cole, Ernst Zündel et autres Pr ChoriSSon, très encadrés par la sécurité du camp, au milieu d’anciens sonderkommandos en colère (pure jalousie médiatique ?), le groupe, descendu d’un bus allemand de la dernière guerre tuné pour l’occasion (« Juden raus », « Juden = Lügen » et autres slogans non crifiens), a entamé une visite officielle du camp.
Arrivés à Birkenau, le camp dans le camp, après avoir englouti force charcuteries bavaroises et lourdes Pils, la délégation a posé avec des mimiques provocantes devant le crématoire numéro 3. Une banderole « Shlomo Gros Mytho » en 5 langues a alors été déroulée, devant le staff polonais du camp, amusé, et les touristes israéliens, médusés, qui cherchaient la caméra de Steven. Mais nous n’étions pas dans un Spielberg.
Les anciens sonderkommandos, menés par les frères Venezia, ont alors tenté d’attaquer lâchement les provocateurs. Heureusement, les gardes polonais veillaient, et quelques coups de matraque bien placés (côtes, tempes, parties génitales) ainsi que quelques habiles morsures de rottweilers (mollets, cuisses, parties génitales), ont vite calmé les récalcitrants. Qui ne l’ont pas trop mal pris. Il est vrai que les Allemands leur ont appris à souffrir !
Arrivés à Birkenau, le camp dans le camp, après avoir englouti force charcuteries bavaroises et lourdes Pils, la délégation a posé avec des mimiques provocantes devant le crématoire numéro 3. Une banderole « Shlomo Gros Mytho » en 5 langues a alors été déroulée, devant le staff polonais du camp, amusé, et les touristes israéliens, médusés, qui cherchaient la caméra de Steven. Mais nous n’étions pas dans un Spielberg.
Les anciens sonderkommandos, menés par les frères Venezia, ont alors tenté d’attaquer lâchement les provocateurs. Heureusement, les gardes polonais veillaient, et quelques coups de matraque bien placés (côtes, tempes, parties génitales) ainsi que quelques habiles morsures de rottweilers (mollets, cuisses, parties génitales), ont vite calmé les récalcitrants. Qui ne l’ont pas trop mal pris. Il est vrai que les Allemands leur ont appris à souffrir !

La visite s’est alors poursuivie, dans un calme tout apparent. Les sonderkommandos semblaient plus décontractés, suite à un conciliabule secret. Mais que se sont-ils dit ? Toujours est-il que les N&N ont pu boire, chanter et faire pipi sur les Lieux de Mémoire. Les cris d’orfraie de Richard Prasquier, parachuté d’un jet privé de Matignon sur sa propre demande, après avoir été prévenu par un journaliste de Canal+, un certain Jean-Michel A, n’ont pas altéré la bonne humeur des négationnistes.
C’est lorsqu’ils sont entrés en chantant la Horst Wessel Lied dans la chambre à gaz numéro 5 (« Bunker 5 »), que les choses se sont subitement dégradées: la porte s’est refermée sous la poussée du pack des Sonderkommandos, qui avaient débordé facilement les gardes polonais, soudoyés au préalable avec des dents en or récupérées on ne sait où. Les sonder ont alors repris leurs anciennes habitudes, comme si 7 décennies ne s’étaient pas écoulées!
En moins de 20 minutes, un petit bidon de Zyklon B aura raison des 80 négationnistes. Après le gazage, équipés de masques, les sonder ont pénétré dans la Kammer, non sans avoir actionné la grande ventilation. Incroyable fiabilité du matériel allemand : tout marchait comme en 43 ! Emus, échangeant bons (le gazage record de 3000 Tziganes en une seule nuit) et mauvais souvenirs (la libération par les Soviétiques marquant la fin de tout enrichissement personnel en dollars et diamants), les vieux Juifs ont brûlé les corps en chantant l’Internationale en 5 langues.
C’est lorsqu’ils sont entrés en chantant la Horst Wessel Lied dans la chambre à gaz numéro 5 (« Bunker 5 »), que les choses se sont subitement dégradées: la porte s’est refermée sous la poussée du pack des Sonderkommandos, qui avaient débordé facilement les gardes polonais, soudoyés au préalable avec des dents en or récupérées on ne sait où. Les sonder ont alors repris leurs anciennes habitudes, comme si 7 décennies ne s’étaient pas écoulées!
En moins de 20 minutes, un petit bidon de Zyklon B aura raison des 80 négationnistes. Après le gazage, équipés de masques, les sonder ont pénétré dans la Kammer, non sans avoir actionné la grande ventilation. Incroyable fiabilité du matériel allemand : tout marchait comme en 43 ! Emus, échangeant bons (le gazage record de 3000 Tziganes en une seule nuit) et mauvais souvenirs (la libération par les Soviétiques marquant la fin de tout enrichissement personnel en dollars et diamants), les vieux Juifs ont brûlé les corps en chantant l’Internationale en 5 langues.

Petit bémol dans cette magnifique journée : au moment de jeter le dernier cadavre dans le feu, les sonder reconnurent Richard, le gros Israélien hystérique qui était rentré fou furieux dans la chambre pendant la cohue. Un des frères Venezia ne put réprimer un petit « oups » de contrariété (ou alors c’était un rot), qui n’entama pas longtemps la bonne humeur générale. Il est vrai qu’à l’époque, on ne faisait pas trop de chichis : on était même capable de brûler un pote qui faisait chier, comme ce connard d’intello juif parisien qui voulait pas parler foot devant les moufles chauffés à blanc!
Le CRIF a malgré tout réclamé les cendres de Richard. Perplexes, les sonder choisirent de récupérer 2 kilos de cendres du tas réduit de N&N, car qui peut faire la différence entre un bon Juif et un mauvais nazi ?
Bertrand Delanoë a demandé officiellement de surseoir à la campagne des législatives en demandant un deuil national de 88 jours. Une Journée de Larmes sera organisée dans toutes les écoles parisiennes. Les enfants devront venir nus pour l’occasion, « en mémoire de tous les enfants nus assassinés par les nazis », selon les propres mots de l’adjoint au Souvenir. Une délégation culturelle menée par des figures du PS et d'Europe Ecologie baptisée "Jack Daniel" pour l'occasion fera des « visites éclair » dans les écoles pour vérifier que la tenue des enfants est bien respectée. Richard - enfin, ses cendres - sera enterré au Panthéon.
Le CRIF a malgré tout réclamé les cendres de Richard. Perplexes, les sonder choisirent de récupérer 2 kilos de cendres du tas réduit de N&N, car qui peut faire la différence entre un bon Juif et un mauvais nazi ?
Bertrand Delanoë a demandé officiellement de surseoir à la campagne des législatives en demandant un deuil national de 88 jours. Une Journée de Larmes sera organisée dans toutes les écoles parisiennes. Les enfants devront venir nus pour l’occasion, « en mémoire de tous les enfants nus assassinés par les nazis », selon les propres mots de l’adjoint au Souvenir. Une délégation culturelle menée par des figures du PS et d'Europe Ecologie baptisée "Jack Daniel" pour l'occasion fera des « visites éclair » dans les écoles pour vérifier que la tenue des enfants est bien respectée. Richard - enfin, ses cendres - sera enterré au Panthéon.