La France réac essaie de nous la faire à l’envers. Selon une récente alarme des fachos de Valeurs Actuelles, « tous les indicateurs de la délinquance sont au rouge ». Et de citer pêle-mêle des chiffres (mais les chiffres, à tout moment de l’Histoire, on les fabrique d’une manière ou d’une autre). Concentrons-nous ici sur les infractions sexuelles. Entre mai 2013 et mai 2014, les violences sexuelles auraient (conditionnel) augmenté de 25,33% dans l’agglomération parisienne. A Paris même, l’augmentation est de 17,17% (le 7 ça porte bonheur, c’est un signe). Enfin, sur la même période, « le nombre d’interventions des gendarmes pour faits de violences sexuelles a connu une progression record : 42,96%». Le Plus Nouvel nous avait déjà fait le coup début juin : dans le 93, 64% des jeunes filles auraient subi dans l'espace public des agressions de nature sexuelle. Passons sur le fait que les femmes en rajoutent toujours, surtout quand on refuse finalement de les baiser (fleurter devient un viol). A les écouter, un sourire est une agression sexuelle (sauf si belle voiture et carte de crédit Platinum). Toute cette cascade de chiffres appelle un décryptage, que L’Organe est heureux de vous offrir. Encore une fois, nous sommes à l’avant-garde de la République lorsqu’il s’agit d’en décortiquer les subtilités.

Terme trompeur, le viol est en réalité un rapport sexuel à consentement différé. La première terminologie, qui laisse entendre qu’il y aurait « violence », est un produit de cette France raciste qui refuse de partager ses filles avec tous les pongidés de Bamako et Marrakech qui l’envahissent depuis le regroupement familial. Les mauvais esprits rétorqueront qu’il n’est nulle part indiqué que Youssef et Diallo représentent la majorité des violeurs. C’est pourtant simple à deviner : les Blancs se sont tellement fait émasculer et transformer en fiotasses prêtes à se faire goder le cul par une génération de féministes névrosées (pléonasme) qu’un Desouche qui viole une femme (surtout dans l’agglomération parisienne) est aussi probable qu’un socialo qui file une pièce à un clodo.
Le problème avec nos CPF, c’est qu’ils sont trop en avance sur leur temps. Il y a la lettre du viol, c’est-à-dire la connasse blanche qui chiale parce qu’après avoir défendu corps et âme le multispécisme elle s’émeut que le corps (les femmes n’ont pas d’âme), son corps qui lui appartient, passe à la casserole. C’est bien beau de parler d’ouverture, d’accueil de l’autre, de mélange, d’échange, mais au bout d’un moment la cohérence exige d’assumer le sens des mots. Et faut pas nous prendre pour des cons, la petite française fait sa mijaurée mais dans les faits ? Au 20ème siècle : du Boche, de l’Amerloque, du Rosbiff, et maintenant de l’Africain. Tant que ça vient d’ailleurs, ça lui va, surtout si on lui dit que c’est pour le Bien.
Le problème avec nos CPF, c’est qu’ils sont trop en avance sur leur temps. Il y a la lettre du viol, c’est-à-dire la connasse blanche qui chiale parce qu’après avoir défendu corps et âme le multispécisme elle s’émeut que le corps (les femmes n’ont pas d’âme), son corps qui lui appartient, passe à la casserole. C’est bien beau de parler d’ouverture, d’accueil de l’autre, de mélange, d’échange, mais au bout d’un moment la cohérence exige d’assumer le sens des mots. Et faut pas nous prendre pour des cons, la petite française fait sa mijaurée mais dans les faits ? Au 20ème siècle : du Boche, de l’Amerloque, du Rosbiff, et maintenant de l’Africain. Tant que ça vient d’ailleurs, ça lui va, surtout si on lui dit que c’est pour le Bien.

Il y a ensuite l’esprit du viol, et c’est là que L’Organe intervient. C’est ce qu’a bien saisi Chwistiane « Coconut »Taubiwa en relâchant les criminels et par sa proposition récente d’adoucir la justice des mineurs en l’étendant jusqu’à 21 ans. Les criminels allogènes bien sûr, Français comme les autres, pas les nazis de la Manif pour Tous. C’est heureux, ce système bénéficie aux violeurs, ce qui nous indique la direction à prendre pour le Progrès. Chwistiane comprend le mal qui les ronge. Les mauvaises langues diront qu’en raison de son physique ingrat à faire rater une couvée de singes et qui rebute les gigolos les plus courageux, « Coconut » lâche des hordes nègres affamées sur nos charmantes filles-femmes-sœurs pour se venger par procuration.
La vérité est heureusement plus complexe que cette sordide théorie du complot. Vivre ensemble suppose de mettre fin au racisme et à la discrimination. C’est heureux, mais comment le traduire en actes ?
La vérité est heureusement plus complexe que cette sordide théorie du complot. Vivre ensemble suppose de mettre fin au racisme et à la discrimination. C’est heureux, mais comment le traduire en actes ?

Le refus de s’ouvrir à l’autre doit être puni. Le mieux est naturellement de forcer ces salopes de bobos racistes à s’enfiler des queues tropicales de gré ou de force. Quand quelqu’un est malade, on le soigne avec un vaccin. Ici c’est pareil, quand une femme refuse l’Autre, il faut lui imposer jusqu’à ce qu’elle l’accepte et qu’elle soit guérie (L’Organe recommande la mise en place d’un carnet de pointage). Mais rendons à César : Nico « Bygmalion » Sarközy le sous-entendait déjà en 2008 lorsqu’il déclarait que si les Français refusaient de se métisser, la République devrait passer à des procédés plus contraignants (ne concerne toutefois pas une certaine communauté).
Dans un monde qui bouge (« le mouvement, c’est le bonheur » nous sloganeerisaient dernièrement les fils de pub de Coca-Cola), il faut s’adapter, anticiper, être proactif. Pourquoi, sinon par racisme primaire (encore une fois), s’en prendre à tous ces « jeunes » qui ne font qu’anticiper sur ce que sera la loi dans quelques années ? Pourquoi les stigmatiser sur leur dû, sur ces petits culs blancs montrés à longueur de journée sur les panneaux publicitaires et à la télévision ?
Dans un monde qui bouge (« le mouvement, c’est le bonheur » nous sloganeerisaient dernièrement les fils de pub de Coca-Cola), il faut s’adapter, anticiper, être proactif. Pourquoi, sinon par racisme primaire (encore une fois), s’en prendre à tous ces « jeunes » qui ne font qu’anticiper sur ce que sera la loi dans quelques années ? Pourquoi les stigmatiser sur leur dû, sur ces petits culs blancs montrés à longueur de journée sur les panneaux publicitaires et à la télévision ?

Nous ne sommes pas dupes. L’héritage de Vichy suinte une pestilence d’égouts quant aux chiffres de la délinquance. Le Ministère de l’Intérieur, paniqué, parle d’un « nouveau système de comptabilisation des actes de délinquance ». C’est insuffisant. Il faut en finir avec ce terme de « délinquance ». Le viol n’est pas un viol. Le vol n’est pas un vol. L’agression n’est pas une agression. Tous ces termes rances sont employés par l’une des deux parties prenantes de l’interaction, mais qui se soucie du point de vue adverse ? Le viol est un don. Le vol est un contre-don. L’agression n’est qu’un agôn ritualisé. Le sub-saharien avec son nez écrasé, ses horribles cheveux crépus et ses lèvres en forme de débouche-chiottes n’est pas le barbare. Le fourbe maghrébougne aux dents de dromadaire et à l’haleine de chacal n’est pas le salaud. L’ordure c’est bien le communautariste Blanc, le pingre qui ne partage pas ses femmes, ses sœurs, ses filles avec les races qui veulent s’assimiler. Le Blanc entretient le rejet, il tiers-mondise son pays. Bas les masques.
En héraut du management des ressources humaines de l’entreprise France, L’Organe envisage de rédiger un livre blanc. Nous y proposerons un nouveau paradigme où des process s’intègrent aux patterns d’un écosystème citoyen pour que les incompréhensions interculturelles cessent de desservir les maghrébo-bamboulas qui, c’est écrit, nous sauveront du déclin ethnocentriste et fasciste qui nous tue. Vive le rapport sexuel à consentement différé. Le viol c’est ce commerce équitable qui garantit des relations femmes du Nord / « hommes » du Sud équilibrées. Le viol, c’est bien. Le viol, c’est beau. Le viol, c’est bio. Femmes blanches, ouvrez vos cuisses. Femmes blanches, ouvrez vos culs. Parce que, de toute façon, Taubiwa ne vous réserve rien d’autre.
En héraut du management des ressources humaines de l’entreprise France, L’Organe envisage de rédiger un livre blanc. Nous y proposerons un nouveau paradigme où des process s’intègrent aux patterns d’un écosystème citoyen pour que les incompréhensions interculturelles cessent de desservir les maghrébo-bamboulas qui, c’est écrit, nous sauveront du déclin ethnocentriste et fasciste qui nous tue. Vive le rapport sexuel à consentement différé. Le viol c’est ce commerce équitable qui garantit des relations femmes du Nord / « hommes » du Sud équilibrées. Le viol, c’est bien. Le viol, c’est beau. Le viol, c’est bio. Femmes blanches, ouvrez vos cuisses. Femmes blanches, ouvrez vos culs. Parce que, de toute façon, Taubiwa ne vous réserve rien d’autre.