Sale bande de fils de putes, couscoussière dégueulant de crevards à vomir, ne passez pas dans notre ligne de mire, ou on vous aligne, putain de déchets humains. 80 000 crachats dans la gueule garantis au prochain match au Stade de France. Par tête de con. C’est le tarif des blattes de gazon. Ne refoutez pas un pied en France. Jamais.
![JE CHIE SUR LA GUEULE DES BLEUS]( "JE CHIE SUR LA GUEULE DES BLEUS")
Onze Bleus, et même pas un patron dans le tas. Comment peut-on sélectionner ces enculés ? C’est quoi cette demi-tonne de racailles de merde ?
Tous les 2 ans, on doit se taper ces salopes qui se pavanent dans les médias, avec leurs pouffiasses à cramer, mais qui se couchent comme des putes devant le premier adversaire un peu motivé.
Y a pas un homme dans le paquet, que des pourritures sans couilles, pas de sens du combat, aucun honneur, creusons la fosse commune de ces ordures qui ne méritent pas de nous représenter.
Putain mais la France c’est autre chose !
Dans cette période de difficultés pour tous, on veut des guerriers, des tueurs, des tricheurs, des gueuleurs, mais pas ces petits branleurs sans chef, sans idée, sans envie, sans rien. Le trou noir, dans la tête comme dans le fion. Ils nous foutent la honte, avec leurs gueules de crevards ravagés, ils sont le visage de la honte, de la défaite, de la maladie et de la mort.
Chiennasses ribéryennes, crevez dans votre fric, votre froc, avec vos pompeuses syphilitiques, vos mineures à faux seins, vos apparts de winners au loto, vos phrases glauques de blaireaux, votre vie de merde. Croisez pas notre chemin, ou on vous rend la monnaie de cette humiliation nationale et ce sera pas à coups de pompe, mais à coups de fusil à pompe dans l’oignon.
On va vous faire un trou çacomme, après vous allez marcher comme des canards, en biais, et on vous balancera des étrons tièdes sur la gueule. Déjections immobiles sur le green, untermenschen à dégobiller, y a pas de mots assez crades pour vous qualifier. Vous êtes plus crades encore que ces mots. Vous allez souiller « putes », « merdes » et « salopes ».
Vous avez fait semblant de jouer ? Nous on fera pas faire semblant de vous pourchasser avec des chiens enragés. On leur fera humer vos frocs pleins de merde, et dans la forêt on vous fera danser, à la Apocalypto, jusqu’à la crampe finale, ultime tétanie de vos corps pourris.
On aime la France, on aime les Bleus, vous on vous vomit.
Dégagez.
Tous les 2 ans, on doit se taper ces salopes qui se pavanent dans les médias, avec leurs pouffiasses à cramer, mais qui se couchent comme des putes devant le premier adversaire un peu motivé.
Y a pas un homme dans le paquet, que des pourritures sans couilles, pas de sens du combat, aucun honneur, creusons la fosse commune de ces ordures qui ne méritent pas de nous représenter.
Putain mais la France c’est autre chose !
Dans cette période de difficultés pour tous, on veut des guerriers, des tueurs, des tricheurs, des gueuleurs, mais pas ces petits branleurs sans chef, sans idée, sans envie, sans rien. Le trou noir, dans la tête comme dans le fion. Ils nous foutent la honte, avec leurs gueules de crevards ravagés, ils sont le visage de la honte, de la défaite, de la maladie et de la mort.
Chiennasses ribéryennes, crevez dans votre fric, votre froc, avec vos pompeuses syphilitiques, vos mineures à faux seins, vos apparts de winners au loto, vos phrases glauques de blaireaux, votre vie de merde. Croisez pas notre chemin, ou on vous rend la monnaie de cette humiliation nationale et ce sera pas à coups de pompe, mais à coups de fusil à pompe dans l’oignon.
On va vous faire un trou çacomme, après vous allez marcher comme des canards, en biais, et on vous balancera des étrons tièdes sur la gueule. Déjections immobiles sur le green, untermenschen à dégobiller, y a pas de mots assez crades pour vous qualifier. Vous êtes plus crades encore que ces mots. Vous allez souiller « putes », « merdes » et « salopes ».
Vous avez fait semblant de jouer ? Nous on fera pas faire semblant de vous pourchasser avec des chiens enragés. On leur fera humer vos frocs pleins de merde, et dans la forêt on vous fera danser, à la Apocalypto, jusqu’à la crampe finale, ultime tétanie de vos corps pourris.
On aime la France, on aime les Bleus, vous on vous vomit.
Dégagez.