Par deux fois, la dictature socialiste Twitter France a supprimé le compte du méchant Old Nick. Sans aucune explication ni référence précises à des tweets pouvant justifier cette décision. Ca se passe comme ça, sur Twitter : si vous n'êtes pas électeur socialiste ou LR, votre espérance de vie sur le réseau est très limitée.
![TWITTER, DICTATURE SOCIALISTE !]( "TWITTER, DICTATURE SOCIALISTE !")
Par deux fois, Twitter a supprimé mon compte.
La première fois, en 2016, j'avais dépassé les 4.000 followers.
La deuxième, en janvier 2017, les 3.500 en moins de six mois.
MLP herself me suivait, grande fierté.
Chaque fois, la raison invoquée pour la suppression est mystérieuse : "Vous avez enfreint les règles de Twitter". Sans plus de précision.
Il faut savoir que Twitter ne se fait jamais chier à justifier ses décisions : "Vous avez enfreint les règles". On ne sait pas avec quel tweet, mais OK, il paraît qu'on a "enfreint les règles", et on est sommé de l'admettre. Sans aucune preuve fournie par la direction ou la modération de Twitter, donc. Un procédé utilisé dans toute bonne dictature, mais pas grave : en fréquentant ce réseau, on se rend vite compte que Twitter est une dictature socialiste, où seule la parole de gauche ne risque jamais aucune censure.
La deuxième fois, je devais avoir vachement gravement enfreint les fameuses "règles" de Twitter, puisque le message automatique m'informant de la non-réactivation de mon compte indiquait : " Vous avez gravement et à de multiples reprises enfreint les règles de Twitter". "Gravement et à de multiples reprises", wow ! Et avec quels tweets, svp ? No réponse du support Twitter, bien sûr et comme d'hab. Pas du genre à s'emmerder à répondre aux manants qui osent se plaindre de leur suspension, chez Twitter.
C'est comme ça, quand on est censuré par Twitter : le vilain contrevenant aux mystérieuses "règles" est juste prié de croire les modérateurs socialistes de Twitter France sur parole, et de se soumettre à leur unilatérale et arbitraire décision sans chercher à avoir la moindre explication.
Padbol pour moi, circonstance ultra aggravante : je ne suis pas de gauche. Pire, je vote FN, ce qui me valait naturellement de nombreuses inimitiés de la part de certaines vedettes de ce réseau. En plus, inconscient que je suis, j'osais m'attaquer aux grosses légumes de la politique, des médias et du showbiz. Le plus souvent pour me foutre gentiment de leur gueule, mais en faisant toujours soigneusement en sorte que tout ce que je postais reste dans les clous de la loi et de la liberté d'expression de la satire à la française. Mais Twitter, soucieux de protéger ses poulains en cette période électorale cruciale, n'a de toute évidence aucun sens de l'humour, et refuse de se renseigner sur la signification du mot "satire".
A la réflexion, l'agacement passé, je trouve ça très flatteur d'avoir vu mon compte supprimé par la Kommandantür Twitter : ça prouve que je dérangeais sérieusement certains mandarins et VIPs du marigot politico-médiatique, et qu'il devenait urgent de me faire taire - par la force, donc. Comme l'équipe Macron, qui commençait sans doute à se lasser de mes petites vannes répétées sur l'homosexualité - ou bisexualité - honteuse de son poulain. Ou comme ce brave Bruno Roger-Petit, qui était l'une de mes têtes de Turc favorites, et qui se réjouit de mon éviction.
La première fois, en 2016, j'avais dépassé les 4.000 followers.
La deuxième, en janvier 2017, les 3.500 en moins de six mois.
MLP herself me suivait, grande fierté.
Chaque fois, la raison invoquée pour la suppression est mystérieuse : "Vous avez enfreint les règles de Twitter". Sans plus de précision.
Il faut savoir que Twitter ne se fait jamais chier à justifier ses décisions : "Vous avez enfreint les règles". On ne sait pas avec quel tweet, mais OK, il paraît qu'on a "enfreint les règles", et on est sommé de l'admettre. Sans aucune preuve fournie par la direction ou la modération de Twitter, donc. Un procédé utilisé dans toute bonne dictature, mais pas grave : en fréquentant ce réseau, on se rend vite compte que Twitter est une dictature socialiste, où seule la parole de gauche ne risque jamais aucune censure.
La deuxième fois, je devais avoir vachement gravement enfreint les fameuses "règles" de Twitter, puisque le message automatique m'informant de la non-réactivation de mon compte indiquait : " Vous avez gravement et à de multiples reprises enfreint les règles de Twitter". "Gravement et à de multiples reprises", wow ! Et avec quels tweets, svp ? No réponse du support Twitter, bien sûr et comme d'hab. Pas du genre à s'emmerder à répondre aux manants qui osent se plaindre de leur suspension, chez Twitter.
C'est comme ça, quand on est censuré par Twitter : le vilain contrevenant aux mystérieuses "règles" est juste prié de croire les modérateurs socialistes de Twitter France sur parole, et de se soumettre à leur unilatérale et arbitraire décision sans chercher à avoir la moindre explication.
Padbol pour moi, circonstance ultra aggravante : je ne suis pas de gauche. Pire, je vote FN, ce qui me valait naturellement de nombreuses inimitiés de la part de certaines vedettes de ce réseau. En plus, inconscient que je suis, j'osais m'attaquer aux grosses légumes de la politique, des médias et du showbiz. Le plus souvent pour me foutre gentiment de leur gueule, mais en faisant toujours soigneusement en sorte que tout ce que je postais reste dans les clous de la loi et de la liberté d'expression de la satire à la française. Mais Twitter, soucieux de protéger ses poulains en cette période électorale cruciale, n'a de toute évidence aucun sens de l'humour, et refuse de se renseigner sur la signification du mot "satire".
A la réflexion, l'agacement passé, je trouve ça très flatteur d'avoir vu mon compte supprimé par la Kommandantür Twitter : ça prouve que je dérangeais sérieusement certains mandarins et VIPs du marigot politico-médiatique, et qu'il devenait urgent de me faire taire - par la force, donc. Comme l'équipe Macron, qui commençait sans doute à se lasser de mes petites vannes répétées sur l'homosexualité - ou bisexualité - honteuse de son poulain. Ou comme ce brave Bruno Roger-Petit, qui était l'une de mes têtes de Turc favorites, et qui se réjouit de mon éviction.
Damien Viel désapprouve ce que vous dites, et se battra à mort pour que vous la fermiez !
Bref, tout ça est derrière moi mais il fallait que je le dise afin de rester d'une manière ou d'une autre présent sur ce réseau. N'étant ni Yann Moix, ni un électeur socialo blindé, je ne perdrai évidemment ni mon temps, ni l'argent que je n'ai pas, à porter plainte contre Damien Viel, PDG de Twitter France, pour atteinte ou entrave à ma liberté d'expression. Je pourrais, mais je n'ai pas de ténor du barreau pour défendre ma cause bénévolement, et en plus je trouve plus fun d'utiliser d'autres moyens d'action. Comme profiter de l'Organe pour y placer l'archive des tweets de mon dernier compte (que j'ai eu le flair de télécharger 15 minutes avant la suppression de celui-ci), afin que Google continue de trouver mes tweets... et que d'autres que les censeurs gauchofachos de Twitter puissent juger de leur compatibilité ou non avec les "règles" de Twitter.
Détail amusant, sur le profil du PDG de Twitter France, on peut lire la célèbre formule : «Je désapprouve ce que vous dites, mais je me battrai à mort pour que vous ayez le droit de le dire».
Apparemment, ce brave Damien ne se bat pas vraiment "à mort" pour tout le monde.
Au fait, tu sais quoi, @DamienViel ?
Je t'encule, mec !
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Cliquez ici pour consulter l'archive Twitter Old Nick
Mots-clés pour Google : Old Nick Twitter, Old Nick censuré par Twitter, Twitter dictature gauchiste, Damien Viel facho, Censure sur Twitter.
Réseau social sans censure gaucho : voxpopulo.com
Détail amusant, sur le profil du PDG de Twitter France, on peut lire la célèbre formule : «Je désapprouve ce que vous dites, mais je me battrai à mort pour que vous ayez le droit de le dire».
Apparemment, ce brave Damien ne se bat pas vraiment "à mort" pour tout le monde.
Au fait, tu sais quoi, @DamienViel ?
Je t'encule, mec !
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