Trois semaines après les faits, une bande de vidéo surveillance détenue jusque là par les enquêteurs vient de surgir, éclairant d'un jour nouveau les circonstances de la rixe ayant conduit à la mort du jeune "antifa" Clément Méric.
La version officielle, jusque là si commode pour la pensée dominante, en prend un sérieux coup dans l'aile puisque la vidéo montre en effet sans aucune ambiguïté possible que c'est bien Méric qui a cherché les embrouilles en s'approchant lâchement du skin Esteban Morillo par derrière dans le but de lui flanquer un coup à la tête. Manque de bol, le skin a senti l'attaque venir, s'est retourné, et vlan, il a riposté par un pain dans la tronche du jeune freluquet, simple geste-réflexe de défense (légitime défense ?) pas forcément destiné à l'envoyer ad patres - mais quand on est bâti comme une crevette, on a forcément une constitution moins robuste qu'un sportif d'1m80.
Bref, les faits semblent désormais indiquer que la provocation semble bien n'être jamais venue des skins, qui selon plusieurs témoignages cherchaient surtout à quitter la boutique et se dirigeaient vers une station de métro proche, où le groupe d'antifas les a rejoints dans le but évident d'en découdre. Ces braves gauchos ont donc eu ce qui leur pendait au nez, et l'on attend bien sûr à présent les justifications alambiquées des antifas institutionnels tels Jean-Luc Mélenchon, Alexis Corbière, Pierre Laurent, Nicolas Demorand, Clémentine Autain, Olivier Besancenot, Bertrand Delanoë, Patrick Cohen, Pierre Bergé, Jean-Michel Aphatie, Pascale Clarke, Daniel Mermet... et autres guignols spécialistes de la désinformation.
Mais en réalité les plus responsables dans cette triste affaire sont peut-être les parents du jeune gringalet: quand on a un gamin de 18 ans, on ne le laisse pas traîner et risquer sa vie avec des excités fascistes, fussent-ils de gauche.
La version officielle, jusque là si commode pour la pensée dominante, en prend un sérieux coup dans l'aile puisque la vidéo montre en effet sans aucune ambiguïté possible que c'est bien Méric qui a cherché les embrouilles en s'approchant lâchement du skin Esteban Morillo par derrière dans le but de lui flanquer un coup à la tête. Manque de bol, le skin a senti l'attaque venir, s'est retourné, et vlan, il a riposté par un pain dans la tronche du jeune freluquet, simple geste-réflexe de défense (légitime défense ?) pas forcément destiné à l'envoyer ad patres - mais quand on est bâti comme une crevette, on a forcément une constitution moins robuste qu'un sportif d'1m80.
Bref, les faits semblent désormais indiquer que la provocation semble bien n'être jamais venue des skins, qui selon plusieurs témoignages cherchaient surtout à quitter la boutique et se dirigeaient vers une station de métro proche, où le groupe d'antifas les a rejoints dans le but évident d'en découdre. Ces braves gauchos ont donc eu ce qui leur pendait au nez, et l'on attend bien sûr à présent les justifications alambiquées des antifas institutionnels tels Jean-Luc Mélenchon, Alexis Corbière, Pierre Laurent, Nicolas Demorand, Clémentine Autain, Olivier Besancenot, Bertrand Delanoë, Patrick Cohen, Pierre Bergé, Jean-Michel Aphatie, Pascale Clarke, Daniel Mermet... et autres guignols spécialistes de la désinformation.
Mais en réalité les plus responsables dans cette triste affaire sont peut-être les parents du jeune gringalet: quand on a un gamin de 18 ans, on ne le laisse pas traîner et risquer sa vie avec des excités fascistes, fussent-ils de gauche.